Le parc

Le Domaine du Bal est un îlot raisonnablement paysagé, voisin éloigné des terres agricoles du pays d’Auge.
Cette étendue oscille entre le parc, et le jardin.

• Variété d’essences : tilleuls, bouleaux, chênes, saules, mélèzes, etc.
• Variété de plantes : bambous, yukas, et de pousses endémiques.
• Variété de fleurs : rosiers, hortensias, tulipes, et autres curiosités botaniques.

Nous invitons les amis des jardins et de la nature à emprunter avec délicatesse les différents recoins de cet espace vert de plus d’un hectare.
N’hésitez pas à vous adonner au Shirin Yoku, cette mode du bain immersif méditatif japonais dont nous raffolons, qui peut consister dans un premier temps à vous connecter à l’empire sylvestre en enserrant et en câlinant mentalement de vos bras l’essence, le sujet qui semblent vous appeler.
Si vous vous fondez paisiblement dans ce décor, vous pourriez avoir la chance de croiser durant votre séjour quelques-uns de nos amis inoffensifs, biches ou mouettes.

L’écosystème du Domaine du Bal est régulé par une mare naturelle, une petite étendue d’eau stagnante de faible profondeur qui alimente le terrain et les essences du parc.
Cette mare recèle une richesse écologique, en tant qu’écosystème fermé, l’eau n’y a d’autre échappatoire que l’évaporation ou l’infiltration.
Merci aux visiteurs du Domaine du Bal, de préserver cette interface aquatique indispensable à l’alimentation de la biodiversité que nous voulons défendre.
Ne déversez aucun liquide, ne nourrissez aucune espèce animale qui vient s’y abreuver ou qui y évolue, et bien-sûr n’y jetez aucun détritus.
Cette mare est un lieu de vie et de reproduction pour une flore et une faune, diversifiées, abondantes et souvent rares.

Les mares représentent un patrimoine écologique vulnérable, confronté aux progrès associés à nos nouveaux modes de vie ; la majorité ont perdu leurs fonctions d’autrefois et sont aujourd’hui délaissées, polluées voire remblayées. On évalue ainsi que 50% des mares françaises ont disparu depuis 1950.